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Il y a au moins cinq bonnes raisons de visiter Chambéry pendant votre séjour dans les Alpes. La ville se trouve à un carrefour entre plusieurs destinations et permet de découvrir l’histoire et la culture de la Savoie, la luminosité de nombreux lacs, une nature montagnarde dont les produits se retrouvent dans les assiettes ou sur les marchés.

Facile d’accès, Chambéry est en toute saison une des portes des Alpes. Ce n’est pas seulement une étape, mais c’est une vraie destination à part entière. AlpAddict vous emmène découvrir Chambéry, la capitale de la Savoie.

Chambéry, capitale historique et culturelle de la Savoie

C’est à Chambéry que l’épopée de la maison de Savoie a débuté. C’est ici même que les Comtes de Savoie ont installé leur capitale dans le Château en 1295 avant de rayonner sur la région, devenir un duché libre en 1416, traverser les Alpes, et fonder le Royaume d’Italie plusieurs siècles plus tard.

Chambéry fut la capitale du Duché de Savoie pendant un peu plus d’une centaine d’années, entre 1416 et 1562. Ensuite les Ducs de Savoie transférèrent leur capitale à Turin.

La Savoie ne fut que très peu française dans son histoire. Sous la domination du Saint Empire Romain Germanique d’abord, indépendante jusqu’à la Révolution Française ensuite, temporarirement française pendant une vingtaine d’années jusqu’à la défaite européenne de Napoléon, elle finit par être cédée à la France en 1860 par l’alors maison royale de Piémont Sardaigne qui avait pour objectif de réunifier et gouverner le territoire italien. Entre temps quelques occupations passagères françaises ou espagnoles, en fonction des guerres sur le continent entre le XVIème et le XVIII siècle ont façonné l’histoire de la ville.

C’est pour cette raison que l’identité des pays de Savoie est encore très présente, plus que dans d’autres provinces de montagne des Alpes françaises qui ont rejoint le Royaume de France il y a déjà de nombreux siècles.

Que reste-t-il de l’époque du Duché de Savoie ?

Certainement, le monument emblématique de Chambéry est le Château. Emblème de la féodalité, centre de pouvoir des Comtes d’abord et des Ducs de Savoie ensuite. En plein cœur de l’ancien centre-ville, il abrite aujourd’hui des services administratifs et on n’en visite librement qu’une infime partie : un bâtiment qui abrite une exposition permanente sur l’histoire de la ville. Heureusement, l’office du tourisme organise des visites guidées pour accéder aux autres sites intéressants à l’intérieur de l’enceinte, comme la cour d’honneur et la Sainte Chapelle. Réservations possibles en suivant ce lien .

La vieille ville médiévale, ses petites ruelles, ses traverses qui rappellent les traboules à Lyon mais qui ont une tout autre fonction. Les propriétaires des maisons donnant sur l’actuelle Place Saint Léger étaient taxés sur la base de la largeur de la façade de leur propriété. Alors ils construisirent de courtes façades sur la place et rallongèrent leur maison vers l’arrière. Au fil du temps les longues ruelles qui longeaient les côtés des maisons furent couvertes par d’autres étages, et c’est ainsi qu’on obtînt les ruelles couvertes, qu’on appelle « traverses » qui permettent de traverser la ville comme dans un labyrinthe secret.

Toutes ces ruelles ont leur histoire qu’il faudra apprécier en flânant à travers les venelles ou les ruelles bordées de commerces.

Le musée Savoisien, qui vient de réouvrir après une longue phase de rénovation, met en valeur l’histoire et la culture Savoyardes. Intéressant, il aborde l’histoire, la culture, le patrimoine, le folklore et le tourisme en Savoie.

A quelques kilomètres de Chambéry, sur les rives du lac du Bourget, sur le site de l’abbaye de Hautecombe, on retrouve les tombeaux d’un certain nombre de membres de la Maison de Savoie qui y ont trouvé là leur ultime demeure.

D’autres bâtiments, construits dans un style Piémontais (on retrouve les mêmes bâtiments à Turin, Nice ou Cuneo) sont d’une époque plus récente que le quartier médiéval et abritent le Palais de Justice et le musée des Beaux-Arts par exemple.

La Carré Curial, centre administratif le jour et festif le soir est une ancienne caserne Napoléonienne reconvertie en lieu d’animation avec ses nombreux bars, pubs et boîtes de nuit. Chambéry, était une base militaire pour les régiments Napoléoniens. Pendant les vingt années de présence française à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle, la position de Chambéry lui conférait un rôle de ville de garnison.

Pendant la deuxième guerre mondiale, cette caserne fut occupée par les Allemands et utilisée comme prison. Heureusement, aujourd’hui, ces lieux ont trouvé une fonction plus gaie !

Il y a de nombreux autres immeubles, bâtiments et monuments à voir et à visiter, mais ils feront l’objet d’un article dédié à une balade dans le centre-ville de Chambéry.

Les illustres Chambériens : Rousseau et le général de Boigne

Il y a deux personnages qui ont laissé une trace importante dans l’histoire de Chambéry.

Jean-Jacques Rousseau et Benoît Leborgne, dit général de Boigne.

Rousseau, le philosophe, rencontre Madame de Warens à l’âge de 16 ans à Annecy. Quelques années plus tard, il retrouve sa protectrice dans la maison des Charmettes, à la sortie de Chambéry et il va y rester six ans entre 1736 et 1742. C’est ici, dans cette maison décrite dans les « Rêveries d’un promeneur solitaire » et dans ses abords qu’il va construire sa pensée philosophique. Cette réflexion va aboutir sur Emile, les Confessions, le Contrat Social. Des monuments de la philosophie française inspirés à leur écrivain dans la campagne Chambérienne.

L’histoire de Benoît Leborgne, plus tard connu comme Général de Boigne, est plus rocambolesque. Savoyard, né dans une Savoie indépendante appartenant à au Royaume de Piemont-Sardaigne, il commet l’irréparable en blessant un soldat Sarde. Par conséquent il est obligé d’émigrer en France pour entreprendre une carrière militaire dans les rangs d’un régiment irlandais d’abord, ensuite comme mercenaire contre les ottomans. Aventurier et grand voyageur, il arrive après de nombreuses péripéties en Inde. Pendant une vingtaine d’années, il y marchande, il y voyage et il y combat au sein de tel ou tel puissant influent pour combattre les Anglais. C’est là-bas aussi qu’il apprend qu’il est devenu citoyen Français, lorsque la France, en 1792 annexe provisoirement la Savoie. Il vit ensuite en Angleterre, puis revient en France et côtoie Napoléon qui lui propose de reprendre du service, ce qu’il refuse.

A la cinquantaine, il décide de se retirer en revenant en Savoie, où il continue de se faire appeler Général de Boigne (déformation anglophone de Leborgne, son nom d’origine, datant des premiers régiments irlandais) : il est richissime et croûle sous les titres honorifiques. Il décide de se servir de son patrimoine pour moderniser Chambéry : hôpitaux, églises, travaux publics, écoles…

Aujourd’hui, la ville de Chambéry honore sa mémoire à travers le nom de la rue principale, bordée d’élégantes arcades, qui traverse la vieille ville et surtout à travers la fontaine aux Eléphants , surmontée de la statue du Général de Boigne.

La fontaine des « sans cul », c’est ainsi qu’elle est familièrement connue, présente quatre trains avant d’éléphants (pas de pattes arrière) qui symbolisent la croix de Savoie par leur position, et son passé en Inde par les symboles qui y sont rattachés.

Chambéry, au cœur d’un région de lacs

Il n’existe pas de Lac de Chambéry, bien évidemment, mais les lacs ne sont vraiment pas loin. Parmi les grands lacs bien connus, à portée de vélo on retrouve les plages du Bourget du Lac, sur le lac du Bourget. Un des plus beaux lacs français, sur les rives duquel s’étire la Riviera d’Aix les Bains, ses thermes, son casino, et son joli centre-ville bien fleuri. Un article sur AlpAddict est consacré au lac du Bourget, vous pouvez le lire, en cliquant ici.

A quelques kilomètres en voiture ou en train, dans l’avant pays savoyard vous pouvez vous rendre sur les rives du lac d’Aiguebelette. Perle turquoise entourée de forêts denses, ce lac attire en été, grâce à ses eaux chaudes, de nombreux Lyonnais et Chambériens pour des journées rafraîchissantes, loin de la densité urbaine.

On ne fera que mentionner le lac d’Annecy  qui se trouve à moins d’une heure du centre-ville de Chambéry. Ce magnifique lac est en Haute-Savoie, il baigne les rives de la ville d’Annecy, et il n’est pas question ici de relancer des querelles de clocher !

Mais il faut savoir que les Chambériens aiment bien se promener autour de deux petits lacs à proximité.

Le lac Saint André, au pied du légendaire Mont Granier se trouve en face de magnifiques paysages sur le massif de Belledonne et de la Lauzière. Le tour du lac n’est pas long, mais sa situation au milieu des vignes permet de se perdre dans des champs aux grappes juteuses en été et dans des étendues de végétation dorée lorsque vient l’automne.

Et le lac de la Thuile, qui est plus loin, plus haut – on est déjà dans les Bauges- et plus confidentiel. C’est déjà un lac de montagne, une étape sur le chemin des balcons Sud des Bauges, ceux qui dominent de près de mille mètres parfois les plaines de la Combe de Savoie, ou sur les chemins de retour, en direction de la Chapelle Saint Michel qui domine la cluse Chambérienne sur un piton très aérien.

Chambéry et ses montagnes

Chambéry est une des portes des Alpes. Il est donc normal de parler des montagnes qui entourent la ville.

Lorsqu’on est dans le cœur de la ville, on admire surtout les Bauges et ses cimes emblématiques visibles depuis Chambéry : le Nivolet (1545) et la pointe de la Galoppaz (1681 m). L’énorme croix au sommet du Nivolet brille de mille feux au soleil couchant, et telle une étoile du firmament, elle indique la direction du Nord aux Chambériens.

La pointe de la Galoppaz, très belle destination pour une randonnée à partir des abords de Chambéry est plus pointue, plus verdoyante et, en hiver, donne une mesure de l’enneigement en montagne. Lorsqu’elle est bien blanche, c’est que la neige est de bonne qualité dans les grandes stations de Savoie.

Ces deux sommets appartiennent au massif des Bauges. Une zone de montagne authentique et traditionnelle d’où proviennent de nombreux fromages et salaisons vendus sur le marché de Chambéry. Si en été on fait de la randonnée dans des montagnes qui présentent peu de difficultés et qui favorisent les activités intergénérationnelles, en hiver, on skie dans les Bauges. Du ski de fond sur le grand domaine de Savoie-Grand Revard, un des plus grands de France qui regroupe les pistes de La Féclaz et du Revard et qui permet la pratique du biathlon. Et du ski alpin du côté des Aillons-Margeriaz ainsi que sur de courtes pistes du côté de La Féclaz et du Revard

Mais surtout, on n’oubliera pas les paysages extraordinaires sur le lac du Bourget que l’on admire depuis les balcons occidentaux des Bauges. Au-dessus de la crête de Pragondran, déjà, à quelques kilomètres de Chambéry, accessible à pied depuis la ville pour une bonne randonnée, on profite d’une magnifique vue sur la partie Sud du lac.

Plus loin, au Belvédère du Sire, à la Féclaz ou au Belvédère du Revard, accessibles en voiture, le paysage est magnifique, surtout au coucher de soleil, ou en hiver, lorsque les pieds dans la neige on regarde le paysage verdoyant de la plaine qui borde le lac du Bourget.

Enfin, pour les randonneurs, le plus beaux des paysages est celui que l’on admire depuis la Croix du Nivolet, emblème de la montagne de Chambéry.

Bauges, Massif de l’Epine et Chartreuse

Mais le Nivolet n’est pas la seule montagne Chambérienne. En face, le massif de l’Epine avec ses forêts touffues, permet de prendre de la hauteur dès la sortie de Chambéry, en direction de Lyon. Depuis les sommets de l’Epine, et notamment depuis le Mont Grelle, la vue sur le lac d’Aiguebelette est époustouflante.

Parlons maintenant d’une silhouette familière aux Chambériens, le Mont Granier, dans le massif de la Chartreuse.

Avec sa forme qui rappelle à certains les montagnes du Grand Canyon, le Mont Granier, qui culmine à près de 2000 mètres d’altitude a eu un rôle historique important dans l’histoire de Chambéry. C’est en effet un effroyable éboulement sur la commune d’Apremont en 1248 , qui lui donne l’aspect actuel. Celui-ci causa une destruction de tout l’habitat et la mort de la plupart des habitants. Mais c’est aussi à cause de cet éboulement que l’administration religieuse qui gérait les terres de l’Eglise en Savoie est déplacée vers des lieux plus sûrs. Quelques années plus tard, la ville de Chambéry, dans laquelle s’installaient aussi les Comtes de Savoie sembla être un lieu idéal. La présence du double pouvoir spirituel et temporel contribua au rayonnement de Chambéry.

Aux pieds du Mont Granier, entre les vignes d’Apremont, on retrouve un lieu de pèlerinage important. Notre Dame de Myans, construite sur les lieux même de la chapelle qui fut la seule construction à ne pas avoir été détruite par l’effondrement du Mont Granier. Evidemment, au Moyen Âge, cela fut considéré comme un signe divin et le lieu fut sanctuarisé pour accueillir les pèlerins.

La cluse de Chambéry descend lentement, au Sud, vers la Combe de Savoie, barrée par les hautes montagnes de la chaîne de Belledonne. Ces montagnes, orientées au Nord, et recouvertes de neige une grande partie de l’année, entre novembre et juillet et forment un beau décor pour le bassin Chambérien. Les photographes adorent la vue sur le massif qu’ils découvrent aux abords de Chambéry depuis la colline des Monts, au-dessus de Lemenc, le site originel Romain du premier habitat à partir duquel s’est développée la ville de Chambéry. La plaine de Bassens, Saint Alban Leysse et La Ravoire s’étend aux pieds de la colline des Monts, qui du haut de ses 500 mètres d’altitude constitue un belvédère remarquable sur les montagnes, et ceci à quelques kilomètres à pied à peine du centre de Chambéry.

Mais du coup, où skie-t-on à part dans les Bauges, ou dans la toute petite station associative du Col du Granier, lorsqu’on vient à Chambéry? Chaque Chambérien a sa station de prédilection. Parfois on choisit des accès faciles, pour éviter les tournants sur la route, parfois on choisit des stations familiales… Aucune station n’est vraiment loin.

A part les plus éloignées en Haute Tarentaise ou Haute Maurienne, les stations de ski se trouvent toutes entre une heure et une heure trente de route depuis Chambéry. Il n’y a que l’embarras du choix. Et le site AlpAddict regorge de conseils et de descriptions pour préparer au mieux ses vacances en Savoie ou dans les départements très proches de la Haute-Savoie et de l’Isère.

Chambéry et son vignoble

Chambéry est bordée au Sud de vignobles qui s’étendent entre Chignin et Apremont. Ces vignobles offrent des paysages époustouflants et produisent certains des vins les plus raffinés de Savoie. Plus loin, en bordure de la Combe de Savoie, on les retrouve sur le flanc sud des Bauges, entre Montmélian et Saint Pierre d’Albigny. Mais restons dans les alentours de Chambéry.

Les vins de Savoie, encore mal connus à l’international, gagnent à être découverts. Ils sont majoritairement blancs, élaborés à partir de cépages autochtones comme la Jacquère, l’Altesse, ou encore la Roussanne. Le climat alpin et les sols variés confèrent à ces vins une fraîcheur et une minéralité uniques. Les rouges, produits à partir de cépages comme la Mondeuse ,le Gamay ou le Pinot, offrent des arômes épicés et fruités, parfaits pour accompagner les plats de la région.

Le vignoble entre Chignin et Apremont est un véritable tableau vivant. Les vignes s’étendent à perte de vue, encadrées par les majestueuses montagnes alpines. À chaque saison, le paysage change et dévoile de nouvelles facettes : au printemps, les vignes bourgeonnent et les fleurs sauvages parsèment les rangs ; en été, les grappes de raisin se gorgent de soleil ; en automne, les feuilles se parent de couleurs flamboyantes, et en hiver, une fine couche de neige peut parfois recouvrir les vignes, offrant un spectacle féerique.

Explorer ces vignobles à pied est une expérience immersive. De nombreux sentiers de randonnée sillonnent la région, permettant de découvrir des points de vue spectaculaires sur la vallée de la Combe de Savoie et le massif des Bauges. Une des promenades les plus prisées part de Chignin, célèbre pour ses tours médiévales, et mène à travers les vignes jusqu’à Apremont. En chemin, des panneaux informatifs racontent l’histoire des vignobles et des cépages locaux. Le paysage sur le massif de Belledonne est grandiose.

Chignin est un petit village pittoresque connu pour ses tours en ruine qui dominent le paysage. Ces vestiges historiques ajoutent une touche de mystère et de romantisme aux vignobles environnants. Les balades entre les hameaux sur les plateaux ensoleillés offrent un moment de détente et de zénitude sans pareil.

À quelques kilomètres au sud de Chignin, Apremont est renommé pour ses vins blancs. Ce vin, aux arômes floraux et aux notes de miel, est idéal avec les plats à base de volaille ou les desserts aux fruits. La légende raconte qu’Apremont doit son nom à l’éboulement du mont Granier en 1248, qui recouvrit les terres de vignes fertiles.

Les vins de Savoie se marient à merveille avec la cuisine locale comme la fondue savoyarde et les autres spécialités à base de fromage. Pour les plats plus robustes comme les diots (saucisse de Savoie), un vin rouge de Mondeuse est idéal, apportant des notes épicées et une belle structure tannique.

Quand on pense à la Savoie, on pense souvent à ses lacs, ses montagnes, ses chalets ou ses pistes de ski, mais on oublie, que les basses vallées et les plaines, là où habite la plus grande partie de la population, sont des régions agricoles au climat favorable à la culture de la vigne, des vergers et du maraichage. Tous les bons produits que l’on retrouve sur les tables des restaurants de la région.

Chambéry, une destination facile d’accès

Chambéry, porte d’entrée des Alpes, se trouve à un carrefour important des routes qui traversent les Alpes.

La ville se situe à la fois sur le sillon qui traverse les Alpes dans une direction Nord Sud entre Genève et Valence, et sur les axes Ouest-Est qui de Lyon mènent en Italie.

Un réseau d’autoroutes performant relie toutes ces destinations en passant par Chambéry.

Evidemment, Chambéry est aussi un centre ferroviaire important. L’ancienne Rotonde, qui est aussi un musée, est là pour le rappeler. D’ici, les lignes de train partent en direction de Lyon et Paris, Grenoble et Marseille ou Annecy et Genève. Mais aussi vers Turin et Milan, en Italie, en traversant la Maurienne, et vers Bourg Saint Maurice et les grandes stations de ski savoyardes de Tarentaise et du Beaufortain.

En train on peut très facilement aller se baigner dans les lacs du Bourget, d’Aiguebelette et d’Annecy. Mais on peut aussi atteindre les villes et les villages des alentours à l’occasion d’événements culturels.

Enfin, la plaine entre la ville et le lac du Bourget est occupée par les infrastructures de l’aéroport de Chambéry, par lequel débarquent des milliers de touristes, surtout à la saison du ski. Chambéry acquiert ainsi une dimension internationale qui en fait un centre touristique important.

On peut passer par Chambéry ou traverser Chambéry sans s’y arrêter. On ignore alors toutes les richesses offertes par ce territoire d’exception. C’est pour cela qu’il faut faire le choix de s’arrêter dans la capitale historique de Savoie.

Il y a tant à faire, tant à découvrir, qu’elle peut vite devenir votre destination finale pour votre séjour de découverte des Pays de Savoie.

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